Coluche, en inflĂ©chissant quelque peu les rĂšgles du biopic Ă la française, parviendrait-il Ă nous faire oublier son Ă©norme dĂ©sir de communion, sa tentative empressĂ©e de rassembler un peuple français Ă©hontĂ©ment singulier ?Doucement, le cinĂ©ma se retourne vers les annĂ©es 1980. On ose enfin, depuis quelques films, poser le regard sur ce qui a longtemps Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme irregardable. Pas loin de trente ans â une gĂ©nĂ©ration â auront suffi Ă transformer en signe dâĂ©poque lâinfamie dâun look quâon sâĂ©tait empressĂ© de quitter avec un dĂ©goĂ»t moqueur, non sans honte. Mais il sâagit de jeter aujourdâhui un Ćil ou une oreille dans la rue pour se convaincre que cette dĂ©cennie revient en grĂące de maniĂšre inattendue et pas seulement au cinĂ©ma la mode vestimentaire et la musique Ă©lectronique des kids se sont dĂ©jĂ chargĂ©es de la recycler. Il nous reste, grosso modo, deux images dominantes des annĂ©es 80, qui semblent sâopposer, mais dont lâune serait plutĂŽt le revers de lâautre un monde trĂšs colorĂ© et un monde trĂšs gris ou trĂšs bleu. Dâun cĂŽtĂ© lâhystĂ©rie criarde lâexplosion du divertissement, de lâautre la dĂ©prime neurasthĂ©nique la crise. Entre le signe sinistre dâun rĂ©el exsangue et la fuite en avant dans lâimaginaire fluorescent, trouverions-nous enfin quelque chose Ă enregistrer de cette Ă©trange Ă©poque dont nous dĂ©barquons ?Coluche, lâhistoire dâun mec, loin de donner une rĂ©ponse, au moins, propose une image des annĂ©es 80. Et cette image, pas si Ă©loignĂ©e du temps de son sujet, a le bon instinct de lorgner plutĂŽt vers lâalbum souvenir que vers le musĂ©e vintage. Dans les deux cas, pourtant, on nâĂ©chappe pas Ă un certain fĂ©tichisme de collectionneur quâon reconnaisse une suite de faits historiques ou la coupe des pantalons de lâĂ©poque, câest le mĂȘme principe dâaccumulation qui prime. Ă cela, on ne trouvera rien dâanormal, puisque Coluche est un biopic. Or, rĂ©aliser un biopic â sa vie, son Ćuvre â cela consiste, sauf exception, Ă filmer une bibliographie ou une discographie ou une sketchographie », au choix, câest-Ă -dire filmer un empilement de dates en prenant bien soin â pour quâon ne sâen aperçoive pas â de leur dĂ©cocher la flĂšche dâune trajectoire, comme on aligne sur une brochette les dĂ©s dâagneau et autres morceaux de poivron. Les dates, câest ce que tout le monde connaĂźt et attend chansons, sketches, faits marquants, tout ce cĂŽtĂ© greatest hits » ; la flĂšche, câest la vie de lâhomme, son intimitĂ©, ses zones dâombre, ses faiblesses, tout cela qui avance vers un seul point les cartons conclusifs en guide de coda biographique. Mais de Caunes, dont câest le quatriĂšme film, inflĂ©chit heureusement la logique du genre. Le spectateur nâest pas invitĂ© Ă traverser la vie entiĂšre de Coluche, mais seulement lâun de ses Ă©pisodes, trĂšs prĂ©cisĂ©ment celui de sa candidature aux Ă©lections prĂ©sidentielles. Cela a pour effet bĂ©nĂ©fique de ne pas diviser le film entre public et privĂ©, ce quâon connaĂźt de lâhomme et ce quâon reconstitue de sa vie. Le rĂ©alisateur le dit lui-mĂȘme il nâexiste pas vraiment de zones dâombre dans la vie de donc, Ă lâorĂ©e des annĂ©es 1980, est dĂ©jĂ une star du music-hall. Tous les soirs, au Théùtre du Gymnase, il rĂ©unit un vaste public et dĂ©nonce lâinertie politique en temps de crise. Les gens rient et se purgent. Un jour â le fameux un jour » du biopic â sous forme de blague, il prĂ©tend se prĂ©senter aux Ă©lections prĂ©sidentielles dans la mesure oĂč les politiques, eux, lui piquent bien son boulot de comique. Son staff se prend au jeu, la mayonnaise grimpe, entre confĂ©rences de presse bouffonnes, rencontres avec les diffĂ©rents reprĂ©sentants de groupes minoritaires, et fĂȘtes au sous-sol de la rue Gazan. Le bouffon, comme chez Shakespeare, est porteur dâune vĂ©ritĂ© que la morositĂ© ambiante refoule. Mais au-delĂ de la blague, Coluche se rend compte quâil finit par soulever une vĂ©ritable ferveur populaire, les intentions de vote prennent des proportions inattendues. Lâhumour quâil prodigue sur scĂšne, Ă la tĂ©lĂ©vision, ou relayĂ© par les journaux satiriques, soigne chez les gens une souffrance bien rĂ©elle. Sa dĂ©marche, quelque part, souligne un dĂ©sespoir dont on nâavait pas encore mesurĂ© lâampleur. Coluche se dĂ©couvre une responsabilitĂ©, prend sa tĂąche de bouffon de plus en plus au sĂ©rieux en poussant le refus du sĂ©rieux Ă ses limites ultimes. Câest lĂ sa grande contradiction. Ce qui nâĂ©tait Ă lâorigine quâun gros coup de provoc finit par le dĂ©passer. Il sâengage dans une grĂšve de la faim compromettante et, dĂ©sabusĂ©, lĂąche les rĂȘnes, conscient des limites de son rĂŽle dâagitateur, Ă©prouvant la fausse miscibilitĂ© des espaces politiques, cĂ©dant enfin le passage Ă la victoire de François France, le biopic est un genre qui tient le coup puisquâil se fond dans une mythologie toute nationale, celle des Monstres sacrĂ©s. DiffĂ©rents des grands hommes » Ă lâamĂ©ricaine, ils se dĂ©finissent avant tout par du trop plein, de la monstruositĂ© justement physique hors normes, appĂ©tits immenses, truculence. Le Monstre sacrĂ© est une incarnation en surchauffe de lâ ĂȘtre français » elle dĂ©borde de partout, elle fume, elle fulmine. Câest normal, puisque le Monstre SacrĂ© est fait pour conjurer lâinfinie dispersion de la sociĂ©tĂ© française et lui offrir, le temps dâun film ou dâun concert, lâoccasion dâune communion. Si le monstre rassemble, cela veut dire aussi quâil avale, quâil absorbe. Il fait le grand Ă©cart entre diffĂ©rents types de population qui ne se croisent jamais. Sa bigarrure vient de lĂ , tout rapiĂ©cĂ© quâil est. Le Monstre sacrĂ© tente le raccord impossible, lâunitĂ© nationale, par-dessus la fracture. Il cherche un peuple. Pour cela, il dĂ©vore tous ceux qui lâentourent â ses proches â et occupe toute la place â la scĂšne. Coluche, lâhistoire dâun mec dĂ©roule assez prĂ©cisĂ©ment ce programme autour de sa star. Ledit Coluche a un appĂ©tit de vie bigger than life. Il Ă©volue dans une fĂȘte permanente, sans cesse entourĂ© dâune nuĂ©e de proches agent, assistants, amis dont il se nourrit et quâil use ; il bouffe, fume, sniffe, baise, conduit vite. Les consĂ©quences de sa candidature Ă©puisent sa femme et disloquent son foyer dĂ©jĂ bien envahi. Enfin, ce principe dâentropie aprĂšs tout, le biopic, nâĂ©chappant pas Ă sa moitiĂ© bio », va inĂ©vitablement vers la mort, comprise comme lâĂ©puisement dâune Ă©nergie est systĂ©matiquement lĂ©zardĂ© par les rencontres de Coluche avec les diffĂ©rentes communautĂ©s quâil tente un temps de rassembler derriĂšre lui. Les intellectuels, les homosexuels, la LCR, les chĂŽmeurs, etc. Coluche Ă©coute, plaisante, accepte le soutien ou le refuse il fait un grand collage. Le film intĂšgre Ă sa forme celle du fameux Avis Ă la population » de Coluche candidat Jâappelle les fainĂ©ants, les crasseux, les droguĂ©s, les alcooliques⊠». Mais sans lâhumour. Ăvidemment, cela va sans dire que Coluche rĂ©clame lâadhĂ©sion complĂšte au Monstre dont il dresse le portrait. Pas de place Ă la critique les seuls opposants sont ou de droite, ou des cons, ou des fous⊠Câest la loi du biopic, de tabler sur un amour dĂ©jĂ rapidement sur lâenrobage â la performance mimĂ©tique de François-Xavier Demaison, la camĂ©ra dĂ©sĆuvrĂ©e de de Caunes, le souffle un peu court des scĂšnes â pour en venir Ă lâessentiel, au meilleur du film. Coluche dresse le portrait, Ă travers son personnage principal, dâune pĂ©riode de confusion entre le spectacle et la politique. Il nâidentifie pas les annĂ©es 1980 comme lâorigine de cette confusion, aussi vieille que la politique ou le spectacle, mais prend acte dâun basculement total. DĂ©sormais, il devient impossible de les distinguer et le grand perdant de cette opĂ©ration, câest le rĂ©el. TrĂšs peu de place, finalement, pour la grisaille du giscardisme finissant, dans Coluche, et quand ce dernier vient rendre visite Ă son comitĂ© de soutien en Picardie, câest pour lâarroser des couleurs bariolĂ©es de son gilet Ă grosses mailles. Si la dĂ©marche de lâhumoriste naĂźt en partie dâun constat de confusion entre la gauche et la droite, il y rĂ©pond par un programme similaire en poussant le music-hall sur la scĂšne du politique. DĂšs lors, le film sâinscrit clairement du cĂŽtĂ© du spectacle, lui confiant son admiration sincĂšre et sa foi en ce quâil peut rĂ©vĂ©ler certaines vĂ©ritĂ©s indicibles. Cependant, le film ne joue jamais sur les puissances du faux et reste bien calĂ© sur sa base dâobjectivitĂ©. En sâattachant Ă un homme dâimage comme Coluche, sensĂ© lui-mĂȘme dĂ©livrer un commentaire sur la rĂ©alitĂ©, le film semble ne plus tant sâinquiĂ©ter de cette derniĂšre. Pour qui se bat Coluche ? Pour des spectateurs, le public, la minoritĂ©, les vrais gens » ? Nous ne verrons ceux-ci que trĂšs furtivement. VĂ©ritĂ© de Coluche, rĂ©alitĂ© du spectacle. Ils deviennent dĂ©sormais insĂ©parables. Le rĂ©el ne nĂ©cessite plus de justification immĂ©diate, on se contente trĂšs bien du spectacle, et seulement du spectacle, pour raconter une aventure politique. Faut-il sâen inquiĂ©ter ?
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Cest l'histoire d'un mec saoul qui est assis sur un banc et il se fait interroger par un policier ( un poulet ) et le bourré dit : - Puisque la terre tourne je vais attendre ici que ma maison passe:)-25. Blague alcoolique
Parce quâil en a marre des accusations de plagiat, lâhumoriste Français a annoncĂ© un nouveau spectacle 100% exclusif Ă©crit par lui tout avoir longtemps niĂ© avoir plagiĂ© dâautres humoristes, Gad Elmaleh a enfin reconnu une partie de vrai » dans les accusations Ă son encontre. Dans la foulĂ©e, lâhumoriste a annoncĂ© un nouveau spectacle quâil promet dâĂ©crire lui-mĂȘme sans rien voler aux autres, Je nâai Ă©tĂ© inspirĂ© que par moi-mĂȘme » promet Gad Elmaleh. Câest lâhistoire dâun mec » tournera en dĂ©rision la difficultĂ© de raconter une histoire drĂŽle. Pour ce spectacle, Gad Elmaleh a dĂ©cidĂ© dâadopter un look unique et jamais vu. Lâhumoriste portera une salopette Ă rayures bleues, un tee-shirt jaune, des brodequins citron et son nez sera peint en rouge. Personne nâa jamais fait ça, câest unique, câest 100% Gad » affirme lâancien plagieur en rĂ©demption. Gad Elmaleh au cinĂ©maEn parallĂšle Ă son nouveau spectacle, Gad Elmaleh a aussi annoncĂ© la sortie prochaine de deux films complĂštement nouveaux qui vont bouleverser le cinĂ©ma français Pas touchable, un film qui jette un regard neuf sur le handicap et Bienvenue chez les Châtuche qui racontera lâhistoire dĂ©sopilante dâune famille qui nâaime pas travailler et qui doit dĂ©mĂ©nager dans le nord pour ⊠donc un Gad Elmaleh nouveau qui arrive, sans plagiat et 100% original. Lâhumoriste a tenu a remercier la chaĂźne Youtube Copy Comics de lâavoir poussĂ© Ă la remise en question et de lui permettre dâĂ©voluer dans sa carriĂšre.
Cest l'histoire d'un mec qui veut se faire embaucher aux impĂŽts. Il passe les diffĂ©rents entretiens ; tout se passe bien et au dernier moment il se sent obligĂ© d'apporter quelques prĂ©cisions: > Ăcoutez, il faut que je vous dise, j'ai un problĂšme anatomique. Voyez-vous, j'ai fait la guerre et une grenade a explosĂ© trop prĂ©s de moi
L'amuseur public numĂ©ro 1 nous a quittĂ©s le 19 juin 1986. Le chĂŽmage, le racisme, les grĂšves... Trente ans aprĂšs, son humour n'a pas vieilli et, pour reprendre ses propos, dans le pire, il demeure le nous a quittĂ©s il y a 30 ans dĂ©jĂ . L'amuseur public numĂ©ro 1 de la France de Giscard puis de Mitterrand, en bouffon hors pair, avait le talent de puiser dans l'actualitĂ© politique et sociale les sujets de ses sketchs. Rien n'Ă©chappait Ă son sens de la dĂ©rision. PĂȘle-mĂȘle, il traitait tous les problĂšmes des Français d'aprĂšs mai 68 Les technocrates, les riches, les pauvres... Il avait parmi ses cibles favorites quelques guise d'hommage Ă la verve de Michel Colucci, Le Figaro propose de relire, Ă l'aune de notre Ă©poque chaotique quelques contre-pieds drolatiques typiquement coluchiens. La plupart n'ont pas pris une quand on voit c'qu'on voit, puis qu'on entend c'qu'on entend, on a raison d'penser qu'il ne pensait pas si Figaro vous prĂ©sente un florilĂšge thĂ©matique de ses saillies...â Coluche...et le footballOn peut toujours trouver plus cons que les supporters y'a les sportifs. Parce que les supporters, ils sont assis les autres, ils courent!»â Coluche...et les grĂšvesLes syndicalistes et les fonctionnaires, ils ont tellement l'habitude de ne rien faire, que lorsqu' ils font la grĂšve, ils appellent ça une journĂ©e d'Action.»â Coluche... et la CGTLe syndicat, c'est fait pour donner raison Ă des gens qui ont tort.»â Coluche... et l'Ă©conomieEn France, les rĂ©formes Ă©conomiques ont autant d'effet que des piqĂ»res dans des prothĂšses de fesses.»â Coluche...et les pauvresJ'aime pas les pauvres, ils ne pensent qu'Ă l'argent.»â Coluche... et les richesManger du caviar Ă la louche... Qu'il faut ĂȘtre snob, hein, entre-nous... C'est pas meilleur Ă la louche.»â Coluche... et la religionDieu a partagĂ©, il a donnĂ© la nourriture aux riches, l'appĂ©tit aux pauvres.»â Coluche... et racismeDix-huit morts Ă Miami. - Bonne nouvelle pour les Blancs les dix-huit morts sont tous noirs.»â Coluche... et les hommes politiquesLes hommes politiques, on devrait les faire souffler dans le ballon pour savoir s'ils ont le droit de conduire la France au dĂ©sastre.»â Coluche... et le Front NationalJean-Marie a dit Le racisme, c'est comme les nĂšgres, ça ne devrait pas exister.»â Coluche...et les communistesLa diffĂ©rence entre le Parti Communiste Français et le Titanic, c'est que pendant le naufrage du Titanic, il y avait de la musique.» â Coluche... et les sondagesLes sondages, c'est pour que les gens sachent ce qu'ils pensent»â Coluche... et l'immigrationTous ces Ă©trangers seraient bien mieux dans leur pays... La preuve nous, on y va bien en vacances!»â Coluche...et le haschichQuand on voit la tristesse des beatniks, on comprend pourquoi c'est interdit le hakik et et on se dit que le pinard ça devrait ĂȘtre obligatoire.»â Coluche...et les Ătats-UnisLes pauvres sont indispensables. La preuve les AmĂ©ricains en ont, c'est quand mĂȘme pas par snobisme.»â Coluche... et les politiciensLes hommes politiques, on devrait les faire souffler dans le ballon pour savoir s'ils ont le droit de conduire la France au dĂ©sastre»â Coluche... et la mĂ©decineLe mĂ©decin a dit Ă mon grand-pĂšre Vous n'ĂȘtes pas malade. L'autopsie prouvera que j'avais raison.»â Coluche... et la psychanalyseSi j'ai bien lu Freud, les hommes auraient deux problĂšmes, le cul et le fric. Sachant que tout le monde a un cul, occupons-nous du fric.»Cest toto il va dans un salon de coiffure pour chien, mais enfaite il Ă confondu avec une boucherie - page 4 - Topic (BLAGUE) C'est l'histoire d'un mec du 24-07-2009 23:34:18 sur
Câest lâhistoire dâun mec qui nâa jamais eu de chance Visitez notre blog Facebook Twitter Pinterest Articles similaires . Tu veux connaĂźtre cette stratĂ©gie si gĂ©niale ? Ce business câest lâaffiliation ! Je nâen connais pas de meilleur pour dĂ©buter en ligne ! ZĂ©ro euros dâinvestissement Pas de stock Pas de site . Attire des milliers de visiteurs sur tes pages de vente sans dĂ©penser un seul centime en pubâŠLa mĂ©thode nĂ©gligĂ©e par 99% des entrepreneurs mais qui mâa rapportĂ© 7 831 euros le mois dernier ! . Tu souhaites gagner de lâargent en ligne et tu penses que le e commerce est la façon la plus facile dây parvenirâŠLaisse moi te montrer comment un client peux te gĂ©nĂ©rer jusquâĂ 2000 euros ⊠. StratĂ©gie unique en francophonie pour gĂ©nĂ©rer 3000 ? par mois minimum en 30 minutes de travail par jour ! La stratĂ©gie se place sur le print on demand et les places de marchĂ© . DĂ©couvre comment un simple PDF a dĂ©jĂ gĂ©nĂ©rĂ© plus de 175 000 euros de revenus Tout ça en automatique, sans site internet, sans publicitĂ©, sans montrer son visage .Les12 premiĂšres blagues créées par l'humanitĂ©. De Robin Stalin - PostĂ© le 25 mars 2022 Ă 16h24 dans Histoire. 4. "On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui". Cette phrase vous agace ?
Cest l'histoire d'un mec.. Répondre. Nouveau sujet Liste des sujets. Actualiser. 1. R0hff-42. MP. 23 août 2010 à 23:55:06. qui raconte une blague sur le 15-18.
Marrante FauchĂ© Un homme sonne Ă la porte d'une vieille dame. Celle-ci l'entrouvre et le vendeur commence son discours bien rodĂ©. "- Bonjour, je suis ici pour vous prĂ©senter le dernier aspirateur de notre marque leader sur le marchĂ©. Je peux vous promettre que vous n'avez jamais vu tel bolide..." Mais lâancĂȘtre n'en a que faire et coupe court Ă la conversation. "- Ăcoutez jeune homme, je suis fauchĂ©e comme les blĂ©s, alors vous pouvez ranger votre matĂ©riel." Mais le dĂ©marcheur connaĂźt son mĂ©tier et finit par arriver Ă entrer dans la maison. C'est alors qu'il sort un sac poubelle remplit de dĂ©tritus et dit "- Je vais renverser ce sac plein de dĂ©chet sur votre tapis et je vous promet que, si je n'arrive pas Ă tout aspirer avec ce formidable modĂšle d'aspirateur ultra technologique qui fait la fiertĂ© de l'entreprise pour laquelle je travaille, je mangerai ce qu'il restera." La vielle femme regarde dubitativement le commercial souriant vider son sac par terre et dit "- Je vais vous chercher une fourchette et un couteau, on m'a coupĂ© lâĂ©lectricitĂ© hier." Fermer la porte Roger, qui a tout de mĂȘme 80 ans, va voir son mĂ©decin comme il en a l'habitude chaque annĂ©e. Celui-ci lui demande comment il se sent. Roger est trĂšs joyeux et dit "- Tout va trĂšs bien, dieu prend soin de moi." Le mĂ©decin est interloquĂ© et demande ce que le vieil homme veut dire par lĂ . "- Hier je me suis levĂ© en pleine nuit pour aller au toilettes, j'ai ouvert la porte et la lumiĂšre s'est allumĂ©e toute seule. Puis, quand jâeus fini, elle s'est Ă©teinte toute seule." Le docteur reste un peu dubitatif mais ausculte sous toutes les coutures Roger, et tout semble trĂšs bien aller. Une fois le patient parti, par conscience professionnelle, le praticien qui est un vieil ami de la famille, tĂ©lĂ©phone Ă la femme de lâoctogĂ©naire et lui explique l'histoire. C'est alors qu'elle lui rĂ©pond "- Ce n'est pas possible, il a encore pissĂ© dans le frigo." Perdre du poids Une femme rentre chez elle et appelle son mari. - "OĂč es tu chĂ©ri ?" - "Dans la salle de bain." Elle ouvre la porte et voit son homme debout sur la balance qui rentre le ventre. Elle lui dit alors, en rigolant - "Tu ne peseras pas moins lourd en rentrant ton ventre !" - "Peut-ĂȘtre, mais j'arriverai Ă lire mon poids." Un peu de bon sens Un garçon arrive aprĂšs la sonnerie comme tous les jours. Le professeur lui demande alors - Pourquoi arrives-tu toujours en retard Ă l'Ă©cole ? - C'est Ă cause du panneau monsieur. - Mais de quel panneau parles-tu ? - Ben, celui oĂč il est Ă©crit RALENTIR ĂCOLE ! Histoire de famille la maĂźtresse s'adresse Ă Toto - Peux-tu me citer un mammifĂšre qui n'a pas de dents ? - Euh... Ma grand-mĂšre ? Fruits exotiques c est l histoire d un gars qui a une banane dans l'oreille et un autre lui dit - hey ! t'as une banane dans l'oreille ! Et l'autre rĂ©pond - Quoiiiii ?! - T'as une banane dans l'oreille ! - Parle plus fort ! j' ai une banane dans l oreille !!! Boissons Un homme vraiment trĂšs musclĂ© et Ă l'air patibulaire entre dans un bar et dit - Une biĂšre, sinon... Et il laisse planer un silence. Le barman a un peu peur et lui sert donc une biĂšre. L'homme la boit et s'en va sans payer. Le lendemain se produit la mĂȘme chose et cela durant une semaine. A la fin, le barman est excĂ©dĂ© et demande Ă deux de ses amis de venir l'aider. Ainsi, le jour j, l'homme musclĂ© entre de nouveau dans le bar et dit - Une biĂšre, sinon... Le barman regarde ses deux amis et sure de lui dit - Sinon quoi ? - Sinon un jus de tomate ! Blague d' hiver L' histoire se situe il y a quelques siĂšcles. Un prĂȘtre et une nonne traversent Ă pied les alpes en plein hiver. Le soir arrive et ils font un halte dans un gite dĂ©sert. Ils sont trĂšs fatiguĂ©s et sans mĂȘme manger ils dĂ©cident de se coucher et dormir pour reprendre des forces car le lendemain ils doivent de nouveau marcher. Dans le gite il y a des couvertures mais seulement un lit. Gentleman, le prĂȘtre propose - Ma sĆur, vous dormirez dans le lit, et moi je dormirai Ă mĂȘme le sol. Peu de temps passe et malgrĂ© les conditions difficiles le prĂȘtre commence Ă s'endormir. Mais la nonne s'exclame - Mon PĂšre, j'ai froid. Alors l'homme se lĂšve, prend une couverture et la dĂ©pose sur elle. De nouveau, le prĂȘtre ferme les yeux, et se laisse sombrer dans le sommeil. C'est alors que la nonne reprend - Mon pĂšre, j'ai encore trĂšs froid. L'homme se lĂšve de nouveau, met une autre couverture sur la religieuse et retourne se coucher. Au moment mĂȘme oĂč il s' endormait la nonne dit - Mon pĂšre, j'ai toujours trĂšs froid ! L' homme extĂ©nuĂ© dit alors - Ma sĆur, permettez moi de vous soumettre une idĂ©e... Nous sommes seul au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais au courant de ce qu'il peut se passer cette nuit. Je vous propose alors de faire comme si nous Ă©tions mariĂ©s. La nonne sentit son cĆur s'arrĂȘter de battre et dit d' une petite voix - Je suis d'accord. C'est alors que le prĂȘte s'exprime d'une voix Ă©nervĂ©e - Alors vous vous levez et vous prenez vous mĂȘme une autre couverture ! Time out woman Eva est dĂ©sespĂ©rĂ©e et se confie Ă sa copine Lucie. - A tous nos rendez-vous, il m'offre des fleurs. C'est gentil mais elles sont toujours fanĂ©es... - Essaie d'arriver Ă l'heure la prochaine fois ! A l' opĂ©ra Un pĂšre et son fils vont Ă l'opĂ©ra - Papa, qui est le monsieur qui fait peur Ă la dame en faisant de grands gestes ? - Il ne veut pas lui faire peur, c'est le chef d'orchestre. - Alors pourquoi la dame, elle crie ? G7MMA5.