Lavaleur de la nue-propriété dépendra de la formule choisie. Dans le cas d'une nue-propriété en viager , la valeur de la nue-propriété varie de 10% pour un usufruitier de moins de 21 ans à 90% pour un usufruitier de plus de 90 ans. Dans le cas d'une nue-propriété temporaire, la valeur de la nue-propriété varie de 77% pour un usufruit de 0 à 10 ans à 31% pour un usufruit de 21
La vente d’un bien en usufruit pose de nombreuses questions, principalement parce que comprendre le concept de l’usufruit n’est pas Ă©vident. En principe, le bien immobilier est possĂ©dĂ© par une personne qui dĂ©tient tous pouvoirs dessus. On parle de pleine propriĂ©tĂ©. Dans certaines situations, la propriĂ©tĂ© du bien immobilier est dĂ©membrĂ©e. C’est-Ă -dire que les droits du propriĂ©taire sont partagĂ©s entre plusieurs personnes. Dans ce contexte, comment vendre le bien immobilier ? Les diffĂ©rents droits dĂ©membrĂ©s peuvent-ils ĂȘtre vendus sĂ©parĂ©ment ? Le nu-propriĂ©taire peut-il vendre sans l’accord de l’usufruitier ? Comment le prix de vente est-il rĂ©parti et qui paye les frais de notaire ? Avant de dĂ©couvrir les conditions de vente d’un bien en usufruit et les rĂšgles de partage du prix, le point sur le dĂ©membrement de propriĂ©tĂ©. Sommaire1 Rappels sur le dĂ©membrement de Dans quelles situations le bien est-il dĂ©membrĂ© ? DĂ©membrement de propriĂ©tĂ©, indivision, copropriĂ©tĂ© quelles diffĂ©rences ? Les droits de l’usufruitier jouissance et perception des Les droits du nu-propriĂ©taire la propriĂ©tĂ© grevĂ©e d’usufruit2 Vente d’un bien en usufruit les pouvoirs respectifs de l’usufruitier et du L’usufruitier peut-il vendre son usufruit ? Le nu-propriĂ©taire peut-il vendre sa nue-propriĂ©tĂ© ?3 Pourquoi dĂ©cider de la vente d’un bien en usufruit ?4 Vente d’un bien en usufruit, mode d’ 1. L’accord obligatoire de l’usufruitier et du 2. Le partage du La rĂ©partition des frais de notaire Rappels sur le dĂ©membrement de propriĂ©tĂ© Le droit de propriĂ©tĂ© se compose de 3 prĂ©rogatives L’usus il s’agit du droit d’utiliser le bien immobilier – pour habiter le logement, par fructus il dĂ©signe le droit de percevoir les fruits produits par le bien – perception des loyers du logement en location, par il concerne le droit de disposer du bien – vendre ou dĂ©truire l’appartement ou la maison, par exemple. Lorsque le droit de propriĂ©tĂ© est dĂ©membrĂ©, 2 personnes se partagent ces prĂ©rogatives L’usufruitier dĂ©tient l’usus et le fructus, mais pas l’ nu-propriĂ©taire possĂšde le bien immobilier. Il en dĂ©tient l’abusus, mais dans une certaine limite. La vente d’un bien en usufruit, en effet, ne peut intervenir sans l’accord de l’usufruitier. A noter le dĂ©membrement de propriĂ©tĂ© peut ĂȘtre effectuĂ© au profit de plusieurs bĂ©nĂ©ficiaires – plusieurs indivisaires et/ou plusieurs nus-propriĂ©taires. Dans quelles situations le bien est-il dĂ©membrĂ© ? Dans la pratique, 3 situations frĂ©quentes provoquent le dĂ©membrement de propriĂ©tĂ©. La donation avec rĂ©serve d’usufruit Les parents, de leur vivant, donnent Ă  leurs enfants un bien immobilier en se rĂ©servant l’usufruit. Les intĂ©rĂȘts de ce montage En se sĂ©parant de leur patrimoine de leur vivant, les donateurs permettent aux hĂ©ritiers d’économiser les droits de succession au moment du dĂ©cĂšs. Le donateur paye des droits de donation, soit. Mais le mĂ©canisme des abattements successifs permet de bĂ©nĂ©ficier d’exonĂ©rations. En fonction du degrĂ© de parentĂ© entre donateur et bĂ©nĂ©ficiaire, et du montant du bien donnĂ©, les droits de donation sont considĂ©rablement rĂ©duits. Exemple chaque parent peut donner Ă  chaque enfant un bien d’une valeur de 100 000 €, tous les 15 ans, sans payer de droits de se rĂ©servant l’usufruit, les donateurs s’assurent de pouvoir profiter du logement jusqu’à leur dĂ©cĂšs. Soit ils l’habitent, soit ils le louent et perçoivent les loyers. Les donateurs s’offrent ainsi une sĂ©curitĂ© financiĂšre, dans la mesure oĂč la vente du bien en usufruit ne peut intervenir de la seule initiative des nus-propriĂ©taires – les bĂ©nĂ©ficiaires de la donation. Autre avantage le montant des droits de donation est rĂ©duit, dans la mesure oĂč la valeur de la nue-propriĂ©tĂ© donnĂ©e est infĂ©rieure Ă  la valeur de la pleine propriĂ©tĂ©. Le dĂ©membrement de propriĂ©tĂ© est donc un moyen d’optimiser sa succession. Le dĂ©cĂšs de l’époux Au dĂ©cĂšs de l’époux, le conjoint survivant hĂ©rite de l’usufruit de la totalitĂ© des biens du dĂ©funt, tandis que les enfants reçoivent la nue-propriĂ©tĂ©. C’est le mĂ©canisme lĂ©gal des successions. A noter le conjoint survivant peut opter pour un quart de la succession en pleine propriĂ©tĂ©, auquel cas il n’y a pas de dĂ©membrement de propriĂ©tĂ©. De mĂȘme, lorsque les enfants du couple sont issus de plusieurs mariages, il n’y a pas de dĂ©membrement de propriĂ©tĂ©. Ce mĂ©canisme permet de protĂ©ger le conjoint survivant qui continue de profiter des biens de son Ă©poux dĂ©funt. La vente en viager occupĂ© On parle de vente d’un bien en usufruit lorsque le vendeur cĂšde son logement en viager occupĂ©. L’acheteur paye une partie du prix du bien immobilier au jour de la vente – le bouquet. Chaque mois, il verse une somme d’argent au vendeur – la rente son dĂ©cĂšs, le vendeur est autorisĂ© Ă  user du bien immobilier. Il peut au choix l’habiter ou le mettre en dĂ©cĂšs du vendeur, l’acheteur rĂ©cupĂšre gratuitement l’usufruit. L’usufruit et la nue-propriĂ©tĂ© sont rĂ©unis l’acheteur dispose de la pleine propriĂ©tĂ©. La vente en viager permet au propriĂ©taire qui n’a pas d’hĂ©ritier ou qui ne souhaite/peut pas leur lĂ©guer son patrimoine de percevoir de l’argent tout en continuant Ă  profiter de son bien immobilier. L’acheteur, de son cĂŽtĂ©, bĂ©nĂ©ficie de conditions financiĂšres intĂ©ressantes. DĂ©membrement de propriĂ©tĂ©, indivision, copropriĂ©tĂ© quelles diffĂ©rences ? Le dĂ©membrement de propriĂ©tĂ© se distingue du rĂ©gime de l’indivision et de la copropriĂ©tĂ©. En indivision les propriĂ©taires indivis sont chacun dĂ©tenteurs de l’ensemble des droits de propriĂ©tĂ©, sur la totalitĂ© du bien immobilier. Contrairement au bien dĂ©membrĂ©, chacun peut prĂ©tendre Ă  habiter le logement, et les loyers de location sont partagĂ©s. Le rĂ©gime de la vente en revanche est similaire. Comme pour la vente d’un bien en usufruit, la vente d’un bien indivis nĂ©cessite l’accord de tous les indivisaires. Une nuance cependant alors que la vente d’un bien indivis peut ĂȘtre autorisĂ©e en justice, le juge ne peut ordonner la vente d’un bien en usufruit Ă  dĂ©faut d’accord de l’usufruitier – article 815-5 du Code copropriĂ©tĂ© chaque copropriĂ©taire a la pleine propriĂ©tĂ© d’une partie de l’immeuble. Chacun profite librement de son logement. Contrairement Ă  la vente d’un bien en usufruit, la vente d’un lot de copropriĂ©tĂ© peut intervenir sans l’accord des copropriĂ©taires. Les droits de l’usufruitier jouissance et perception des fruits Vous ĂȘtes usufruitier ? Vous pouvez habiter le bien immobilier, ou le mettre en location et en percevoir les contrepartie, vous devez payer la taxe fonciĂšre et la taxe d’habitation. Vous avez Ă©galement une obligation d’entretien du logement. Les droits du nu-propriĂ©taire la propriĂ©tĂ© grevĂ©e d’usufruit Le nu-propriĂ©taire possĂšde le bien immobilier, mais sans en profiter. Il s’agit d’un droit de propriĂ©tĂ© presque symbolique. A noter la totalitĂ© des frais d’entretien du logement sont Ă  la charge de l’usufruitier, Ă  l’exception des travaux lourds. Etre nu-propriĂ©taire offre nĂ©anmoins des avantages Le nu-propriĂ©taire acquiert ses droits Ă  moindre prix. Au dĂ©cĂšs de l’usufruitier, ou Ă  l’expiration de l’usufruit temporaire, le nu-propriĂ©taire rĂ©cupĂšre automatiquement et gratuitement l’usufruit. Il dĂ©tient alors la pleine propriĂ©tĂ©. Le montage est intĂ©ressant sur le plan cas de vente d’un bien en usufruit, le nu-propriĂ©taire est intĂ©ressĂ© il reçoit une partie du prix. Vente d’un bien en usufruit les pouvoirs respectifs de l’usufruitier et du nu-propriĂ©taire La vente d’un bien en usufruit ne peut intervenir sans l’accord de l’usufruitier et du nu-propriĂ©taire sur le principe et les modalitĂ©s de la vente. Mais Ă  dĂ©faut d’accord, des alternatives existent pour sortir de cette situation. L’usufruitier peut-il vendre son usufruit ? Vous souhaitez procĂ©der Ă  le vente d’un bien en usufruit ? Le nu-propriĂ©taire peut valablement refuser. L’article 595 du Code civil autorise l’usufruitier Ă  vendre son droit Ă  l’usufruit. Mais attention ! Pour prĂ©server les droits du nu-propriĂ©taire, la loi prĂ©voit que les conditions de l’usufruit sont transmises Ă  l’acheteur En cas d’usufruit temporaire, l’usufruit s’éteint Ă  la date initialement cas d’usufruit viager, l’usufruit s’éteint au dĂ©cĂšs du 1er usufruitier – le vendeur. Le nu-propriĂ©taire rĂ©cupĂšre ainsi la pleine propriĂ©tĂ© du bien immobilier Ă  la date prĂ©vue au jour du dĂ©membrement de propriĂ©tĂ©. Le nu-propriĂ©taire peut-il vendre sa nue-propriĂ©tĂ© ? Le nu-propriĂ©taire Ă©galement peut vendre son droit Ă  la nue-propriĂ©tĂ© indĂ©pendamment de l’usufruit. Mais attention ! L’acheteur de la nue-propriĂ©tĂ© continue de partager la propriĂ©tĂ© du bien avec l’usufruitier, il ne peut en aucun cas le contraindre Ă  quitter le logement avant son dĂ©cĂšs ou la date convenue. Pourquoi dĂ©cider de la vente d’un bien en usufruit ? Plusieurs raisons peuvent motiver un projet de vente d’un bien en usufruit. La plupart du temps, la vente d’un bien en usufruit intervient Ă  la suite d’une succession. Le conjoint survivant qui hĂ©rite de l’usufruit, en effet, peut souhaiter vendre Parce qu’il ne s’entend pas avec les hĂ©ritiers et qu’il prĂ©fĂšre ne plus partager avec eux le droit de propriĂ©tĂ© sur le que les charges d’entretien et les impĂŽts reprĂ©sentent un coĂ»t trop important Ă  la charge de l’usufruitier. Souvent, les enfants hĂ©ritiers achĂšteront l’usufruit pour dĂ©tenir la pleine propriĂ©tĂ© du bien. A dĂ©faut, la vente d’un bien en usufruit peut ĂȘtre effectuĂ©e au bĂ©nĂ©fice d’un tiers. Vente d’un bien en usufruit, mode d’emploi 3 informations essentielles Ă  connaĂźtre pour la vente d’un bien en usufruit. 1. L’accord obligatoire de l’usufruitier et du nu-propriĂ©taire Le nu-propriĂ©taire d’un bien immobilier ne peut le vendre sans l’accord de l’usufruitier. A l’inverse, l’usufruitier ne peut provoquer la vente d’un bien en usufruit sans l’accord du nu-propriĂ©taire. 2. Le partage du prix ConformĂ©ment Ă  l’article 621 du Code civil, le partage du prix de vente d’un bien en usufruit est effectuĂ© eu Ă©gard Ă  la valeur respective de l’usufruit et de la nue-propriĂ©tĂ©. L’article 669 du Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts Ă©tablit un barĂšme des valeurs en fonction de l’ñge de l’usufruitier. Plus l’usufruitier est jeune, plus la valeur de l’usufruit est Ă©levĂ©e et la valeur de la nue-propriĂ©tĂ© rĂ©duite. Son espĂ©rance de vie, en effet, est d’autant plus importante que l’usufruitier est jeune. Dans ce contexte l’usufruitier, potentiellement, profite longtemps du bien immobilier. Cela explique une valeur Ă©levĂ©e de l’usufruit. A l’inverse, le nu-propriĂ©taire acquiert la pleine propriĂ©tĂ© plus tardivement, ce qui explique la valeur rĂ©duite de la nue-propriĂ©tĂ©. Exemples de partage du prix dans le cadre d’une vente d’un bien en usufruit pour un prix de 100 000 €. L’usufruitier est ĂągĂ© de 60 ans. En application du barĂšme, le prix est partagĂ© Ă  parts l’usufruitier a 30 ans, il rĂ©cupĂšre 80 % du prix de vente – soit 80 000 €. Contre 20 000 € pour le de 85 ans a droit Ă  20 % du prix de vente, soit 20 000 €. Le nu-propriĂ©taire rĂ©cupĂšre alors 80 000 €. La rĂ©partition des frais de notaire Les frais de notaire sont rĂ©partis Ă  proportion du partage du prix de vente, en application du barĂšme fiscal. Vous pouvez utiliser un simulateur en ligne pour Ă©valuer les sommes Ă  percevoir et les sommes Ă  payer au moment de la vente d’un bien en usufruit.
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Achetermaison en viager Ă  La Crau (83260)
L’usufruit est, avec le droit d’usage et d’habitation l’une des deux modalitĂ©s de vente en viager. Il offre de nombreux avantages le vendeur peut ainsi continuer Ă  habiter dans le logement. Et quelques inconvĂ©nients comme le fait de devoir continuer Ă  payer des charges sur le bien. Voyons, en dĂ©tails, ce qu’est l’usufruit et quelle assurance habitation choisir pour couvrir le logement. Qu’est-ce que l’usufruit ?La notion d’usufruit consiste Ă  pouvoir profiter d’un bien, en y logeant ou en le louant, sans en ĂȘtre le propriĂ©taire. L’occupant a ainsi vendu son bien Ă  ce que l’on appelle un nu-propriĂ©taire. Ce dernier n’occupe pas le logement dans l’immĂ©diat et verse une rente Ă  l’usufruitier le vendeur. Le plus souvent la personne qui dispose de la nue-propriĂ©tĂ© est un tiers mais il arrive aussi qu’un enfant l’obtienne par hĂ©ritage et que ce soit ses parents qui soient les usufruitiers jusqu’à ses 16 est principalement utilisĂ© en viager. C’est l’une des possibilitĂ©s de rentes pour le vendeur. Cette source de revenus peut ĂȘtre utilisĂ©e en complĂ©ment de retraite, par exemple. Elle peut Ă©galement ĂȘtre mise en place lorsque le ou les usufruitiers n’ont pas d’hĂ©ritiers. C’est une maniĂšre de transmettre son bien Ă  un acheteur de confiance que l’on a dĂ©jĂ  rencontrĂ© et avec lequel, bien souvent, une relation s’est l’usufruit prend-il fin ? L’usufruit prend fin si L’usufruitier dĂ©lai d’utilisation est expirĂ© c’est le cas pour un usufruit temporaire. C’est une forme de donation qui est souvent effectuĂ©e entre parents et enfants. Par exemple, le temps que ces derniers terminent leurs Ă©tudes et disposent de revenus. Ils peuvent ainsi habiter le logement ou percevoir le montant des loyers pour financer leur formation si le bien est louĂ© Ă  une tierce n’y a pas eu d’usage de l’usufruit pendant 30 renonce Ă  la location de son abus de jouissance sont constatĂ©s par exemple des dĂ©gradations majeures ou un manque d’entretien perte du bien par accident comme un incendie ou des causes naturelles telles que l’inondation ou la certaines situations, c'est un enfant qui a la nue-propriĂ©tĂ© et ses parents qui possĂšdent l’usufruit. Ce dernier s’éteint lorsque l’enfant atteint l’ñge de 16 souhaitez recevoir nos conseils et bons plans ? Inscrivez vous Ă  notre newsletter pour recevoir le meilleur de Luko dans votre boĂźte mail. Avantages de l’usufruitPrincipal intĂ©rĂȘt de l’usufruit ? Le vendeur peut choisir de vivre dans son bien ou de le louer, cela apporte davantage de est aussi transmissible du vivant de l’usufruitier, Ă  un parent, un enfant ou Ă  une association, sous certaines conditions. La transmission peut s’effectuer par testament ou donation avec l’intervention d’un de l’usufruitL’usufruit revĂȘt toutefois quelques inconvĂ©nients et notamment Le vendeur paye toutes les charges du bien factures d’énergie, taxe fonciĂšre et de copropriĂ©tĂ© si le bien se situe en habitat vendeur sera imposĂ© sur ses revenus locatifs si le bien est louĂ© et qu’il ne l’habite rentes viagĂšres sont souvent plus basses que si vous aviez choisi le droit d’usage et d’habitation DUH.En cas de donation, mise en succession ou vente du bien en usufruit, un barĂšme fiscal est dĂ©terminĂ© pour la rĂ©partition de la valeur entre l’usufruitier et le nu-propriĂ©taire. La somme est Ă  la fois dĂ©terminĂ©e par l’ñge de l’usufruitier et la valeur du tableau ci-dessous donne quelques exemples pour un bien d’une valeur de 300 000 euros Valeur fiscale de l'usufruit Âge de l’usufruitier Valeur fiscale de l’usufruit Valeur fiscale de la nue-propriĂ©tĂ© 50 ans180 000 euros120 000 euros60 ans150 000 euros150 000 euros70 ans 120 000 euros180 000 euros80 ans 90 000 euros210 000 euros90 ans60 000 euros240 000 eurosChiffres obtenus avec le simulateur du barĂšme fiscal de l’usufruit du site Service Public le 26 juillet l’usufruitier est ĂągĂ©, plus la valeur fiscale qui lui est dĂ©volue est faible. Ce calcul tient en effet compte de son espĂ©rance de vie au moment de la mise en place de l’usufruit. Ainsi, Ă  50 ans la valeur fiscale est Ă  60% assumĂ©e par le vendeur. Le nu-propriĂ©taire n’en affichant que 40%. La tendance s’inverse lorsque l’usufruitier atteint 61 assurance pour un usufruit ?Pour l’usufruitier, une assurance habitation classique suffit pour les pĂ©riodes oĂč il habite dans le logement. Il faut qu’elle couvre, a minima, sa responsabilitĂ© civile et les risques locatifs pour les sinistres comme le dĂ©gĂąt des eaux, l’incendie, les catastrophes naturelles. S’il y a des dĂ©pendances et des installations spĂ©cifiques cave Ă  vin, piscine, panneaux solaires
, il faut aussi les assurer. Le but ici est que le bien soit le mieux couvert possible pour Ă©viter les abus de jouissance Ă©ventuels. Quelle assurance pour la location d’un bien en usufruit ?Si l’usufruitier dĂ©cide de louer le bien, une assurance propriĂ©taire non occupant PNO est judicieuse. Elle va notamment couvrir le logement en l’absence de locataire, mais Ă©galement venir en complĂ©ment. Elle peut comprendre des garanties aussi diverses que le dĂ©gĂąt des eaux, les tempĂȘtes et catastrophes naturelles, les dommages Ă©lectriques ou le vol et le son cĂŽtĂ©, le locataire a l’obligation de sĂ©lectionner une couverture dĂ©diĂ©e pour sa responsabilitĂ© civile, le dĂ©gĂąt des eaux et l’incendie. S’il ne le fait pas il est possible pour le propriĂ©taire-bailleur ici l’usufruitier de souscrire une assurance pour son compte et d’en rĂ©cupĂ©rer le montant en le rĂ©percutant sur le peut aussi ĂȘtre intĂ©ressant de se prĂ©munir contre les loyers impayĂ©s en souscrivant une garantie contre les loyers impayĂ©s GLI. Elle est incluse dans certaines formules PNO. Si ce n’est pas le cas il faut la prendre de maniĂšre indĂ©pendante.

1 La mĂšre qui possĂšde l’usufruit Ă  72 ans. D’aprĂšs le barĂšme, son usufruit vaut 30%. En cas de cession, elle recevra 100 000 * 30% soit 30 000 €. 2- Mr CorrigetonimpĂŽt est nue-propriĂ©taire. Il subit la contrepartie de l’usufruit. Sa nue-propriĂ©tĂ© vaut donc 70%.

Le viager, avec quelque 5 000 ventes par an, constitue un marchĂ© de niche mĂȘme s’il est en lĂ©gĂšre croissance, il ne reprĂ©sente que 0,5 % des transactions immobiliĂšres, selon le baromĂštre de l'Institut d'expertise et de formation au viager IEFV de la sociĂ©tĂ© RenĂ©e Costes Viager de janvier 2018. Une accĂ©lĂ©ration importante est attendue Ă  partir de 2020 avec la gĂ©nĂ©ration des baby-boomers qui atteindra l’ñge moyen des vendeurs en viager, soit 75 ans », analyse Stanley Nahon, directeur gĂ©nĂ©ral de RenĂ©e Costes viager se rapproche d’une vente immobiliĂšre classique, seules ses modalitĂ©s de paiement diffĂšrent. Au moment de l’acquisition, l’acheteur – appelĂ© le dĂ©birentier – ne rĂšgle que le bouquet, une somme d’argent payĂ©e comptant. Le reste est acquittĂ© chaque mois ou chaque trimestre auprĂšs du vendeur – nommĂ© crĂ©direntier –, sous forme de rente versĂ©e jusqu’à son dĂ©cĂšs. “Tabou”, “malsain”, tels ont Ă©tĂ© pendant longtemps les adjectifs qualifiant le viager », note François Robelin, notaire Ă  Vichy. Pourquoi ? Parce que le contrat dĂ©pend d’un alĂ©a fondĂ© sur la durĂ©e de vie d’une personne. Mais cette vision a aujourd’hui largement Ă©voluĂ©. Le viager est perçu comme un investissement Ă  part entiĂšre. D’ailleurs, le contrat est totalement Ă©quilibrĂ©, dans la mesure oĂč vendeur et acquĂ©reur en tirent tous les deux avantage », ajoute Me Robelin. L’acquĂ©reur se constitue un patrimoine tout en souplesse et au meilleur prix. Mais l’opĂ©ration est aussi intĂ©ressante pour le vendeur retraitĂ©, qui trouve ainsi un moyen de complĂ©ter ses revenus. Anthony Mattei, le directeur de Sud Viager, une agence spĂ©cialisĂ©e dans le viager Ă  Marseille depuis trois gĂ©nĂ©rations, va plus loin Le viager est un schĂ©ma gagnant-gagnant. Il arrive d’ailleurs souvent que des liens affectifs forts se nouent entre la personne ĂągĂ©e et l’acheteur. »Viager libre ou occupĂ©, quelles diffĂ©rences ?Dans la majoritĂ© des cas, le viager porte sur la rĂ©sidence principale du vendeur qui continue de l’occuper. Il se rĂ©serve un droit d’usage et d’habitation qui lui permet de rester dans les lieux jusqu’à sa mort. On parle de viager occupĂ© ». Attention toutefois, l’investissement n’est pas nĂ©cessairement juteux ! N’oubliez pas que le contrat est alĂ©atoire, vous prenez un pari sur l’espĂ©rance de vie du vendeur. Plus il vivra vieux, plus le bien vous coĂ»tera cher », explique Me Robelin. D’ailleurs, il y a quelques annĂ©es, un notaire a rĂ©alisĂ© une bien mauvaise affaire en achetant une maison en viager Ă  une cliente ĂągĂ©e de 90 ans. Il ne se doutait pas que cette femme, dĂ©nommĂ©e Jeanne Calment, mourrait Ă  l’ñge de 122 ans ! Pour Stanley Nahon, ce cas est totalement isolĂ© Vous avez peu de risque de tomber sur la doyenne de l’humanitĂ© ! » Notez qu’en cas de dĂ©part anticipĂ© du logement par le crĂ©direntier, la rente Ă  payer est revalorisĂ©e, autour de 30 % le taux est librement nĂ©gociable au moment de la vente.Les viagers libres » permettent au contraire de disposer immĂ©diatement du logement. En consĂ©quence, vous pouvez le louer pour en tirer un revenu qui couvre tout ou partie de la rente Ă  payer au vendeur. Mais ils sont trĂšs rares et portent surtout sur des petites surfaces. De plus, ils coĂ»tent plus cher qu’un viager occupĂ© » car vous payez la disponibilitĂ© immĂ©diate du l'allongement de la vie, le risque n'est-il pas de surpayer le bien immobilier ? Le coĂ»t total de l’acquisition du bien immobilier va effectivement dĂ©pendre de la longĂ©vitĂ© du vendeur. Mais Ă  la fin, l’investisseur acquiert le bien Ă  un prix infĂ©rieur Ă  sa valeur rĂ©elle. Pourquoi ? Parce que le prix d’achat est dĂ©cotĂ© pour tenir compte de l’occupation par le crĂ©direntier et que le bien se valorise dans le temps. Ainsi, les calculs sont tels que mĂȘme si le vendeur vit bien au-delĂ  de son espĂ©rance de vie, l’acquĂ©reur reste gagnant », explique Anthony Ă  savoirSi le bien vendu en viager appartient en communautĂ© Ă  un couple, le contrat peut ĂȘtre Ă©tabli au profit des deux conjoints sur deux tĂȘtes ». Le versement de la rente, dans ce cas, prendra fin uniquement au dĂ©cĂšs du second conjoint. Il en va de mĂȘme si le contrat de vente prĂ©voit une rente rĂ©versible au conjoint prix de la transaction fait l’objet de calculs trĂšs prĂ©cis, Ă  partir de l’estimation rĂ©elle du bien libre au jour de la signature. À ce montant, il est appliquĂ© une dĂ©cote liĂ©e au droit d’usage et d’habitation DUH. Celle-ci est, par exemple, d’environ 30 % pour une femme ĂągĂ©e de 75 ans », explique Me Robelin. Ensuite, le montant du bouquet est fixĂ©, autour de 30 % du prix du bien une fois la dĂ©cote dĂ©falquĂ©e. Lorsque le bouquet est Ă©valuĂ©, il faut calculer le montant de la rente. Plusieurs paramĂštres interviennent l’ñge et le sexe du crĂ©direntier qui permet de dĂ©terminer son espĂ©rance de vie, l’existence d’une clause de rĂ©versibilitĂ© si le bien est vendu par un couple au dĂ©cĂšs de l’un, l’intĂ©gralitĂ© de la rente est versĂ©e au survivant, le taux de rendement du bien d’aprĂšs sa valeur locative, etc. Les notaires et les agents immobiliers spĂ©cialisĂ©s utilisent des outils spĂ©cifiques qui intĂšgrent des tables de mortalitĂ©. D’un professionnel Ă  l’autre, les estimations sont susceptibles de lĂ©gĂšrement varier, mais ces calculs ne constituent qu’une base, les montants du bouquet et de la rente demeurant librement nĂ©gociables. Le viager reste une vente immobiliĂšre. Rien ne vous empĂȘche de nĂ©gocier le prix Ă  la baisse. D’ailleurs, dans ce marchĂ© de niche, l’acquĂ©reur est en position de force puisque les acheteurs ne se bousculent pas », ajoute Me pratique Élisabeth, 75 ans, est veuve. Elle vend en viager sa maison Ă  Luc, un bien estimĂ© Ă  300 000 €. Son espĂ©rance de vie est de quinze ans. Elle souhaite continuer Ă  habiter son logement. La dĂ©cote induite par ce droit d’habitation est de 27 %. La valeur de la maison occupĂ©e s’élĂšve Ă  219 000 € 300 000 - 27 %, et le rendement locatif est d’environ 3 % par an. Elle demande un bouquet de 75 000 €. Compte tenu de l’espĂ©rance de vie d’Élisabeth, la rente annuelle payĂ©e par Luc sera de 9 600 €, soit 800 € par mois. Une revalorisation annuelle de la rente est prĂ©vue dans l’acte de vente, selon l’indice des prix Ă  la Ă  savoir Une clause d’indexation peut ĂȘtre incluse dans le contrat de vente. Cette derniĂšre permet d’exiger que la rente soit réévaluĂ©e chaque annĂ©e afin de pallier les effets nĂ©gatifs de l’inflation. À dĂ©faut, une revalorisation forfaitaire minimum, fixĂ©e par la loi, sera appliquĂ©e automatiquement chaque acheter en viager ? Si vous cherchez un investissement sĂ©curisĂ© dans la pierre, le viager est Ă  conseiller, rĂ©sume Me Robelin. Le placement est rentable et vous permet de vous constituer un patrimoine immobilier Ă  votre rythme et sans recourir Ă  un emprunt bancaire. » Les acquĂ©reurs, dans leur majoritĂ©, sont dans une logique d’épargne-retraite. De la mĂȘme façon qu’ils investiraient dans une assurance-vie ou un bien locatif pour complĂ©ter leur retraite future, ils choisissent le viager. Au-delĂ  de 55 ans, et compte tenu de la durĂ©e d’un investissement en viager, la logique d’un investisseur est plutĂŽt de transmettre le bien car il reviendra aux hĂ©ritiers », analyse Stanley qui s’adresse l’achat en viager ?Le viager n’est pas Ă  la portĂ©e de tous. Il vous faut en effet dĂ©tenir des liquiditĂ©s pour acquitter le bouquet car les banques refusent de le financer Ă  crĂ©dit, sauf si vous acceptez de mettre en hypothĂšque un autre bien immobilier », constate Anthony Mattei. Attention Ă  bien faire vos calculs avant de vous engager ! Prenez en compte le fait que le versement de la rente peut durer longtemps et qu’il vous faudra assumer certaines charges en tant que propriĂ©taire de grosses rĂ©parations, par exemple. La rĂ©partition des travaux entre dĂ©birentier et crĂ©direntier, telle que fixĂ©e dans l’acte de vente, est gĂ©nĂ©ralement celle pratiquĂ©e entre locataires et propriĂ©taires. Il faut donc disposer d’un minimum de trĂ©sorerie pour ne pas se retrouver Ă©tranglĂ© » au moment de payer rentes et ailleurs, pour assurer le paiement de la rente au crĂ©direntier, une hypothĂšque est prise par le notaire si vous cessez les versements, le vendeur peut faire saisir et vendre le bien. Souvent, il est ajoutĂ© dans l’acte une clause rĂ©solutoire elle permet au vendeur, si le dĂ©birentier ne rĂšgle plus la rente, de redevenir propriĂ©taire en faisant annuler la vente. Dans ce cas de figure, vous perdez toutes les sommes dĂ©jĂ  versĂ©es ! Nous conseillons Ă  nos clients de mettre de cĂŽtĂ© l’équivalent de six Ă  douze mois de rentes par mesure de sĂ©curitĂ©. Si vous touchez Ă  ce capital, c’est le signal d’alerte. Et si la crise n’est pas passagĂšre, il faut s’empresser de remettre en vente le bien », alerte Stanley possible de revendre le bien acquis en viager avant terme ?Vous demeurez libre de revendre le bien acquis en viager, quand vous le dĂ©sirez et Ă  qui vous le souhaitez. Il n’est pas nĂ©cessaire d’obtenir l’autorisation du crĂ©direntier. L’opĂ©ration n’entraĂźne gĂ©nĂ©ralement aucune perte pour le premier acquĂ©reur », confie Anthony Mattei. La difficultĂ© est ailleurs mĂȘme si vous vous libĂ©rez d’une charge financiĂšre – le paiement de la rente viagĂšre puisque le nouvel acquĂ©reur prend le relais –, vous restez garant de son paiement jusqu’au dĂ©cĂšs du crĂ©direntier. Reste Ă  bien choisir l’acheteur en s’assurant de ses capacitĂ©s vente en viager en famille est-elle possible ?Oui, mais il faut ĂȘtreextrĂȘmement prudent quand on pratique un viager en famille, que ce soit avec un enfant, un neveu, un cousin... La loi considĂšre l’opĂ©ration entre des parents et un enfant comme une donation dĂ©guisĂ©e, expliquePierre Montagnon, notaire Ă  Gerzat Puy-de-DĂŽme. Pour y Ă©chapper, il faut que les frĂšres et sƓurs soient partie prenante de l’acte en dĂ©clarant que la transaction leur paraĂźt sincĂšre, et que la valeur du bien et de la rente est rĂ©elle. Dans les faits, j’évite le plus possible ces ventes, et je les refuse quand je sens que le viager est un moyen dĂ©tournĂ© de recevoir le bien gratuitement et sans fiscalitĂ©. En revanche, quand la dĂ©marche est sĂ©rieuse et que les parties veulent pratiquer une vente viagĂšre malgrĂ© les mises en garde, nous prenons le plus de prĂ©cautions possible estimation du bien effectuĂ©e par un professionnel, conservation des preuves de paiement du bouquet et des rentes, etc. Nous devons pouvoir tout justifier en cas de contrĂŽle de l’administration fiscale. »

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Cest une rĂ©glementation europĂ©enne en matiĂšre de succession qui donne cette possibilitĂ© depuis aoĂ»t 2015. Vendre ses biens immobiliers en viager. En ce qui concerne les propriĂ©taires, mettre un bien immobilier en vente en viager fait sortir celui-ci du patrimoine pris en compte lors d’une succession. La personne qui aura procĂ©dĂ© Ă 
C’est en 876 que le viager a Ă©tĂ© introduit en France. Depuis, le dispositif n’a cessĂ© d’exister. En gros, le principe est simple on achĂšte pas trop cher un appartement occupĂ© par une personne ĂągĂ©e et on lui verse en complĂ©ment une rente jusqu’à ce qu’il passe de vie Ă  trĂ©pas, moment Ă  partir duquel on peut jouir de l’appartement qu’on n’a pas payĂ© bien cher. Sauf Ă©videmment si le vieux dĂ©cide de prolonger le plaisir indĂ©finiment, comme dĂ©crit dans le film Le viager oĂč Michel Serrault refuse de mourir. 1. Jeanne Calment L’histoire est connue et a mĂȘme inspirĂ© un film, Un duplex pour 3. En 1965, un notaire, MaĂźtre Raffray, a la bonne idĂ©e de racheter en viager l’appartement d’une vieille dame de 90 ans. La vieille dame de 90 ans, c’est Jeanne Calment
 Finalement, aprĂšs avoir passĂ© 30 ans Ă  payer 2500 francs de rente par mois Ă  la doyenne de l’humanitĂ©, Raffray meurt en dĂ©cembre 95 sans avoir pu profiter de l’appartement dont il aura finalement payĂ© deux fois la valeur. Pas de chance, d’autant que Jeanne Calment ne mourra finalement que deux ans plus tard, en 97, Ă  122 ans. 2. Le Petit fĂ»t de Maupassant InspirĂ©e d’un fait divers de l’époque, la nouvelle de Maupassant raconte comment un fermier rachĂšte en viager la ferme de sa voisine et, s’étonnant de ne pas la voir mourir assez vite, dĂ©cide de la convertir Ă  l’alcoolisme pour accĂ©lĂ©rer sa perte, lui offrant toutes les semaines un petit fĂ»t de la fine qu’il distille sur son terrain. Et jusqu’à ce que la vieille meure et laisse sa maison Ă  l’impĂ©trant. 3. Le notaire vĂ©reux de Bretagne En 2010, un notaire de la Baule a Ă©tĂ© interdit d’exercer aprĂšs avoir rĂ©alisĂ© la chose suivante ayant liĂ© des liens quasi-filiaux » selon ses dires avec une vieille cliente, il avait convaincu sa quasi-mĂšre de vendre Ă  un prix trĂšs bras sa maison Ă  sa meuf, en viager, Ă©videmment. La profession s’est retournĂ©e contre lui, d’autant qu’entre temps la vieille Ă©tait morte et le notaire s’était pacsĂ©. Finalement radiĂ© et poursuit pĂ©nalement, il avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© poursuivi pour des faits similaires plusieurs annĂ©es auparavant et avait alors bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un non lieu. 4. Le mec qui empoisonnait l'occupante de son viager A Cannes, en 2015, un mec de 46 ans avait rachetĂ© l’appart de sa voisine, 85 ans, en viager. En bon voisin, il venait rĂ©guliĂšrement lui rendre visite. Jusqu’au jour, oĂč, suite Ă  l’une de ces visites, la vieille tombe dans le coma et le mec se sent trĂšs mal. Les analyses menĂ©es Ă  l’hĂŽpital sont formelles l’eau minĂ©rale qu’ils ont tous deux consommĂ©e Ă©tait blindĂ©e de mĂ©dicaments mortels Ă  forte dose ou pour les organismes sensibles. Oupsie on retrouve la boĂźte du mĂ©dicament chez le mec. Peut-ĂȘtre envisageait-il d’agrandir son chez lui. La vieille s’en est tirĂ©e et il a Ă©tĂ© mis en examen. 5. A 96 ans, elle meurt Ă  peine dix mois aprĂšs avoir conclu un viager En 2008, un couple acquiert en viager l’appartement d’une petite vieille de 96 ans, qui ne tarde pas Ă  mourir, Ă  peine 10 mois plus tard. Sauf que l’administration fiscale trouve cette coĂŻncidence louche et se penche sur les finances du couple, dĂ©jĂ  inquiĂ©tĂ© par des contrĂŽles fiscaux Ă  rĂ©pĂ©tition. Et il s’avĂšre que le couple n’a pas versĂ© un centime Ă  la vieille depuis l’acquisition en viager. Louche. Le couple se dĂ©fend en invoquant des circonstances exceptionnelles expliquant le non-versement de l’argent, mais le tribunal statue sur une donation dĂ©guisĂ©e. Ils doivent donc payer d’importants droits de succession. 7. Encore un homme de confiance vĂ©reux Les Ă©poux Auger avaient un homme de confiance, un patron de resto en faillite qui avait procuration sur leur compte. Celui-ci avait rachetĂ© leur appartement en viager. Et voilĂ  qu’un beau jour, peu aprĂšs la mort de son mari, Madame Auger se rend compte qu’il manque balles sur son compte. Evidemment, le mec est dans le collimateur, Ă  raison d’ailleurs. Mais elle n’est pas au bout de ses surprises elle dĂ©couvre que son mari a laissĂ© un testament dans lequel il lĂšgue l’intĂ©gralitĂ© des meubles de leur logement Ă  l’homme de confiance, dĂ©jĂ  bĂ©nĂ©ficiaire des murs suite au contrat de viager passĂ© entre les parties. Ah et qui a dĂ©couvert le corps du mari et a donnĂ© 3 versions diffĂ©rentes de la dĂ©couverte du corps aux policiers ? Toujours ce cher homme de confiance. Qui a d’ailleurs touchĂ© une assurance vie consĂ©quente suite Ă  ce dĂ©cĂšs. Rien de bizarre Ă  tout cela, hein. 8. De Gaulle, VGE et Kennedy avaient achetĂ© des appartements en viager Colombey-les-deux-Ă©glises, le chĂąteau de d’Estaing d’oĂč la particule rajoutĂ©e pour faire genre, et une maison aux US dont il n’a probablement pas eu l’usufruit vu sa durĂ©e de vie rĂ©duite les chefs d’Etat sont des fanas du viager. Peut-ĂȘtre parce que, quand on commande l’armĂ©e, on sait qu’on pourra intervenir si jamais la vie de l’occupant s’éternise. J’adore les personnes viagers.
Lorsde la signature L’acte d’achat Ă  la retraite dans la vie, vous pouvez Ă©galement ajouter au contrat comme une garantie communequ’un tiers exige depayer la pension en cas d’état d’un acheteur. L’assurance pension impayĂ©e peut Ă©galement ĂȘtre souscrite par les crĂ©anciers concernĂ©s. Mais ils ont un coĂ»t : 10 -15% du montant mensuel de la pension. Accueil > Indivision successorale suite dĂ©cĂšs Nue propriĂ©tĂ© et usufruit La pleine propriĂ©tĂ© d’un bien comprend d’une part la nue-propriĂ©tĂ© le droit de disposer du bien, d’autre part l’usufruit le droit d’user du bien, d’en avoir l’usage ou d’en percevoir les revenus. Concernant une rĂ©sidence principale la nue-propriĂ©tĂ© est le droit de disposer de cette maison, c’est Ă  dire de dĂ©cider de la louer, de la vendre... mais sans empiĂ©ter sur les droits de l’usufruitier, l’usufruit est le droit d’habiter cette maison. Nue propriĂ©tĂ© et usufruit en cas de dĂ©cĂšs d’un conjoint avec enfants Lors du dĂ©cĂšs d’un conjoint, sa part de propriĂ©tĂ© des biens dĂ©tenus en commun entre dans sa succession, dans l’actif successoral qui revient, d’une part, au conjoint survivant et, d’autre part, Ă  ses enfants. Son conjoint hĂ©rite alors ou bien de la totalitĂ© de l’usufruit des biens du dĂ©funt, ou bien d’un quart de la pleine propriĂ©tĂ© de ces biens. Or le conjoint ou concubin survivant possĂšde dĂ©jĂ  la moitiĂ© de l’usufruit des biens communs, la moitiĂ© de la nue-propriĂ©tĂ© de ces biens communs. Suite Ă  ce dĂ©cĂšs, le conjoint ou concubin survivant a donc le choix entre possĂ©der Choix conjoint survivant Part conjoint survivant Actif successoral revenant au conjoint Part conjoint aprĂšs succession usufruit nue-propriĂ©tĂ© usufruit nue-propriĂ©tĂ© usufruit nue-propriĂ©tĂ© Choix 1/4 nue-propriĂ©tĂ© 1/2 1/2 1/8* 1/8* 5/8* 5/8* Choix de l’usufruit 1/2 1/2 1/2 0 1 1/2 *1/8 car la part du conjoint ou concubin dĂ©cĂ©dĂ© est de la moitiĂ© de la pleine propriĂ©tĂ©, soit 1/2 ou encore 4/8, et que le conjoint survivant hĂ©rite d’un quart de cette part, soit 1/4 x 4/8 = 1/8, portant sa part aprĂšs succession Ă  4/8 + 1/8 = 5/8. Choix entre pleine propriĂ©tĂ© et usufruit Il n’existe pas de solution systĂ©matiquement prĂ©fĂ©rable pour le conjoint ou concubin survivant entre choisir d’hĂ©riter d’un quart de la pleine propriĂ©tĂ© ou de la totalitĂ© de l’usufruit. Un notaire a alors pour rĂŽle de jouer pleinement son rĂŽle de conseil. Il s’agit simplement de montrer ici que, mĂȘme lorsque l’actif successoral ne comprend que la rĂ©sidence principale, le conjoint survivant est protĂ©gĂ© et peut conserver l’usage de cette rĂ©sidence principale. Dans le cas oĂč son choix porte sur la nue-propriĂ©tĂ©, les autres hĂ©ritiers possĂšdent alors 3/8 de la nue-propriĂ©tĂ© et de l’usufruit. Ces autres hĂ©ritiers se retrouvent donc en indivision avec le conjoint survivant, dont la part indivise est majoritaire 5/8. Cependant, ces autres hĂ©ritiers sont en droit, comme tout indivisaire, de demander Ă  sortir de cette indivision. Le conjoint ou concubin survivant doit alors pouvoir s’entendre sur le prix et racheter ces 3/8 de la pleine propriĂ©tĂ© des biens indivis. Dans le cas ou le choix du conjoint ou concubin survivant porte sur l’usufruit, les autres hĂ©ritiers possĂšdent alors la moitiĂ© de la nue-propriĂ©tĂ© mais n’ont aucun droit sur l’usufruit. Ces autres hĂ©ritiers ne sont donc en indivision que sur la nue-propriĂ©tĂ© et ne peuvent que vendre leur part indivise de cette nue-propriĂ©tĂ©, qui n’intĂ©resse personne, pas mĂȘme le conjoint ou concubin survivant qui n’a aucun intĂ©rĂȘt Ă  sortir de la trĂ©sorerie pour racheter la pleine propriĂ©tĂ© de sa rĂ©sidence principale. Cette seconde solution choix de l’usufruit sur la totalitĂ© des biens permet donc au conjoint, sans nĂ©cessitĂ© de disposer de trĂ©sorerie, de s’assurer de la jouissance de sa rĂ©sidence principale. Dans tous les cas, il faut rappeler que la loi du 3 dĂ©cembre 2001 a considĂ©rablement renforcĂ© les droits du conjoint survivant sur sa rĂ©sidence principale. 28 novembre 2014, par gigi Bonjour Mon mari est dĂ©cĂ©dĂ© en 2008, et sachant que nous avions fait, devant notaire, un acte en 2004 afin d’établir l’usufruit de nos biens en commun, en cas de dĂ©cĂšs et mutuellement au dernier vivant. Mon mari a eu 2 fils, issu d’un premier mariage. Je reçois, ce jour, un courrier d’un avocat qui menace d’engager des poursuites auprĂšs du tribunal, du fait que l’un des fils s’est endettĂ©, et les crĂ©anciers veulent engager des poursuites afin de rĂ©cupĂ©rer les sommes dues sur sa part. Je ne me sens pas concernĂ© par cette situation, mais je suis quand mĂȘme inquiĂšte pour l’issue de cette procĂ©dure. Suis-je rĂ©ellement protĂ©gĂ©e ? Merci d’avance pour vos rĂ©ponses 25 fĂ©vrier 2014 Bonjour, Mon pĂšre et sa soeur sont propriĂ©taires d’un terrain en indivision, hĂ©ritage de mon grand-pĂšre qui possĂ©dait Ă  lui seul ce terrain. Mon pĂšre s’est remariĂ© aprĂšs le dĂ©cĂšs de ma mĂšre. Ils n’ont pas eut d’enfant ensemble. Son actuelle Ă©pouse a cependant plusieurs enfants issus d’un autre mariage. Le terrain compris dans une ZAC en cours de construction est vouĂ© Ă  ĂȘtre vendu prochaĂźnement Ă  un promoteur. Du vivant de mon pĂšre, ai-je droit Ă  quelque chose si la vente a lieu ? Si mon pĂšre dĂ©cĂšde avant que la vente ait lieu, comment se fait le partage de sa part en indivision ? Et Comment se fera le partage des biens de mon pĂšre Ă  son dĂ©cĂšs ? Mon pĂšre est mariĂ© sous le rĂ©gime matrimonial par dĂ©faut. En vous remerciant d’avance pour vos Ă©clairages. Cordialement. 21 fĂ©vrier 2014, par db-nogent Mes parents mariĂ© depuis 1956 sans contrat de mariage sont sĂ©parĂ©s de corps depuis 1999 non divorcĂ©s Mon pĂšre vient de dĂ©cĂ©der. Il possĂ©dait une maison en moitiĂ© indivisible avec quelqu’un d’autre concubine ? et un terrain en toute propriĂ©tĂ© j’ignore les dates d’acquisitions. Il a eu un enfant portant son nom avec cette personne qui est dĂ©cĂ©dĂ©e avant lui. Quels sont les droits de ma mĂšre, de mon demi-frĂšre et les miens ? Merci., 29 avril 2013, par k1000 Bonjour, J’ai une maison en indivision avec mon conjoint concubin. Nous avons eu ensemble 2 enfants, 5 et 11 ans. Que ce passe t’il si l’un de nous deux dĂ©cĂšde ? L’autre parent a t’il le droit de continuer Ă  vivre dans la maison ? Doit-il payer des droits de succession ? Et s’il a le droit de rester dans la maison, qu’en est-il quand les enfants auront quitter le nid ? 3 mai 2013 Voir le dossier "acheter Ă  2 un immeuble" pour plus de dĂ©tails sur le droit du concubin survivant de continuer Ă  habiter le bien acquis en indivision Ă  noter droit dont ne peut pas se prĂ©valoir l’époux ou le partenaire pacsĂ© associĂ© d’une SCI. 8 avril 2013, par Coco Bonjour, mes parents nous ont donnė des parts en nue propritė et en usufruit sur une sci. Ces parts Ă©taient numĂ©rotĂ©es. Mes parents ont gardė 1/3 des parts en usufruit 65 papa et 267 maman et 0 part en nue propriĂ©tĂ© . Mon pĂšre est dėcėdė. Ils Ă©taient mariės sous le rĂ©gime de la communautė universelle. À qui reviennent les 65 parts d’usufruit de papa ? À ma maman ou a l’enfant dĂ©tenteur des parts numĂ©rotĂ©es de papa en nu-proprietė ? Merci d’avance 13 mars 2013 bonjour,la femme de mon mari est dĂ©cĂ©dĂ©e en avril 2002,mon mari n’est pas usufruitier de la maison et il est en indivision avec son fils qui avait Ă  l’époque 13 il est Ă©vident que le bien a pris de la valeur et que mon mari a effectuĂ© des travaux d’entretien rĂ©gulier du fils a quittĂ© le domicile depuis l’ñge de 18 ans sans que son pĂšre ne lui demande aucune contribution financiĂšre quand aux charges courantesimpĂŽts fonciers,notamment.Mon mari rencontre des conflits avec son fils mais souhaiterait lui rachetait sa qui s’adresser pour l’évaluation du prix de la sont les dĂ©marches Ă  suivre ?Merci 20 mars 2013 Effectivement, en cas de conflit, recourir Ă  une Ă©valuation d’expert s’impose. Un notaire est un expert Ă  recommander. J’ignore le coĂ»t de cette Ă©valuation, un visiteur aurait-il un exemple Ă  nous donner ? 25 juillet 2013 L’estimation est gratuite, l’idĂ©al est de la faire faire par un notaire, le rachat de ou des parts se fera, si votre enfant ou vos enfants sont d’accord, sinon impossible !!! vous ne pouvez racheter ou vendre sans l’accord des enfants hĂ©ritiers. Le calcul de part est selon l’ñge du mari ou femme survivant. ex un bien estimĂ© Ă  220 000 euros en juillet 2013, avec 2 enfants issus du mariage le mari ou la femme survivant ayant 47 ans 50 % de facto appartienne au vivant 60 % de la part du dĂ©funt revient au survivant, ce qui est vrai entre 40 et 50 ans ce pourcentage change Ă  la dizaine ce qui revient Ă  dire que 80 % de la maison appartient au mari ou femme soit 176 000 euros et 10 % Ă  chaque enfant soit 22 000 euros sitelle 20 fĂ©vrier 2013, par Sonia Bonjour, moi je suis UsufruitiĂšre et mes enfants donc hĂ©ritier, et je voudrais savoir si je peu mettre la maison en location ? 10 fĂ©vrier 2013, par moumoune bonjour, mon papa est dĂ©cĂ©dĂ© il y a 3 ans, et ma maman est usufruttiĂšre de la maison et des comptes bancaires. Dont la moitiĂ© me revenait normalement mais le notaire Ă  dit que non car elle en a l’usufruit. Mon problĂšme est que ma maman est tombĂ©e sur une personne qui est en train de lui vider les comptes, et que maman ne fait pas la diffĂ©rence entre euros et francs. Est ce une nouvelle loi qui dit que je n’avais pas le droit d’avoir ma moitiĂ© ? Maman a t-elle tous les pouvoirs de dĂ©penses n’importe comment ? Ai je un pouvoir pour arrĂȘter que cette personne ne profite de sa faiblesse ? Merci de votre rĂ©ponse 20 mars 2013 L’usufruitier peut disposer de ses biens. Il faudrait engager une procĂ©dure demandant la mise sous curatelle ou tutelle de votre mĂšre, consultez l’onglet "avocat" en bas de page. 29 janvier 2013, par seb Bonjour, mon pere est dĂ©cedĂ© en 2002 et ma mĂ©re a l’usufruit de la maison familiale, elle a fait mettre une pompe Ă  chaleur et a contractĂ© un prĂȘt pour la rĂšgler. Elle veut racheter ce prĂȘt par sa banque et surprise la banquiĂ©re lui a dit qu’elle n’avait pas le droit de faire un crĂ©dit immobilier n’étant que l’usufruitier. Est ce vrai, merci 26 mai 2013 bonjour Je pense qu’effectivement la banquiĂšre a raison votre mĂšre n’est que l’usufruitiĂšre et non la propriĂ©taire donc elle ne peut emprunter sur un bien qui ne lui appartient pas 3 janvier 2013, par AnĂ©mone Bonjour, je ne sais pas bien si je pose cette question au bon endroit mais je n’ai pas trouvĂ© de rĂ©ponse en cherchant sur le web, alors je tente Ma mĂšre veut faire don de sa part de la maison Ă  ses 2 enfants. Nous avons hĂ©ritĂ© l’autre moitiĂ© de notre pĂšre en indivision, elle en a l’usufruit. Le notaire dit que les droits de donation seront calculĂ©s sur la valeur totale du bien et non sur la moitiĂ©. Est-ce normal ? Merci 29 janvier 2013 Votre mĂšre possĂšde la totalitĂ© de l’usufruit, des droits seront donc calculĂ©s sur la totalitĂ© de cet usufruit dont vous ne possĂ©dez pas la moitiĂ©. Etait-ce bien votre question ? 4 dĂ©cembre 2012, par michĂšle mon pĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© en 1974 laissant notre mĂšre avec l’usufruit de la maison nous Ă©tions 3 enfants, chacun propriĂ©taire d’ 1/3 de la maison. En 1997 un de mes 2 frĂšres est dĂ©cĂ©dĂ©, ma mĂšre a hĂ©ritĂ© de la moitiĂ© de sa part 1/2 de son 1/3 et mon autre frĂšre et moi sommes devenus propriĂ©taires de l’autre moitiĂ© divisĂ©e par 2 qui s’est ajoutĂ©e au tiers du dĂ©part dont nous Ă©tions chacun propriĂ©taire notre mĂšre vit en maison de retraite, la maison est inoccupĂ©e si nous vendons la maison aujourd’hui, comment le calcul de partage est’il fait entre notre mĂšre, mon frĂšre et moi pour le montant de la vente ? 3 octobre 2012 Mon mari est dĂ©cĂ©dĂ© le 5/2/12, je voudrais savoir combien de temps je puis rĂ©sider sans problĂšme dans notre maison. Est-ce 1 an ou 3 ans comme je l’ai entendu dire ? Merci de votre rĂ©ponse 18 octobre 2012 Il existe 2 cas de protection pour le conjoint survivant. Le droit d’usage de la rĂ©sidence principale qui dure 1 an. d’autre part si vous Ă©tiez mariĂ©s, 2 autres cas se. PrĂ©sentent. En prĂ©sence d’enfants issus de votre union, vous bĂ©nĂ©ficiez automatiquement de l’usufruit du bien, c’est Ă  dire de jouir du bien et donc d’ habiter de façon viagĂšre. si votre mari avait des enfants d’une autre union et que vous avez fait une donation entre Ă©poux autrement appelĂ© donation au dernier vivant vous. BĂ©nĂ©ficiez du mĂȘme principe. Sinon vous n’aurez le droit qu’à 1/4 en pleine propriĂ©tĂ©. 24 mai 2012, par Mon pĂšre, actuellement en rĂ©sidence de retraite, possĂšde 2 appartements le 1er Ă©tait la rĂ©sidence principale de mes parents. Ma mĂšre est dĂ©cĂ©dĂ©e en 2005. Ce logement est vide. le 2Ăš est occupĂ©e par moi-mĂȘme, Ă  titre gracieux. Je rĂšgle les charges de cet appartement. Mes parents avaient fait une donation au dernier vivant. Nous sommes 5 enfants. Chaque enfant possĂšde 1/6 de la sucession. Mon pĂšre a Ă©tĂ© placĂ© sous curatelle renforcĂ©e suite Ă  la requĂȘte d’une de mes soeurs. Veuillez m’indiquer si je suis en indivision ou en usufruit. Bien Cordialement. 19 octobre 2012 Bonjour, vous ĂȘtes en indivision avec votre papa usufruitier et vos autres frĂšres et sƓurs nu propriĂ©taires. si les biens immeubles ont Ă©tĂ© acquis par vos parents de leur vivant et qu’ils Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des biens communs, votre papa bĂ©nĂ©ficie de la moitiĂ© de la valeur des immeubles en pleine propriĂ©tĂ©. L’autre moitiĂ© en 2005 au dĂ©cĂšs de votre mĂšre a fait l’objet du partage entre le conjoint survivant et les enfants. au dĂ©cĂšs de votre pĂšre l’usufruit "rejoindra" la valeur de la nu-propriĂ©tĂ© et vos frĂšres et sƓurs seront alors en indivision avec vous. pour rĂ©sumer la nu propriĂ©tĂ© c’est le fait d’avoir les murs de la maison, l’usufruit le droit de jouissance du bien vivre dans la rĂ©sidence principale ou percevoir les loyers d’un bien louĂ©. ZIzLi.
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